Heoss Ferdur, artisan forgeron
Voila bien des générations que le savoir de mes ancêtres se transmet de père en fils dans ma famille. Et quelle merveilleux dons que celui du façonnage des métaux, partir d'un simple morceau de fer brute afin d'en extraire toute son essence, et obtenir une lame de la plus belle facture. J'ai commencé mon apprentissage au coté de mon père alors que je ne savais à peine marcher, et deja il me montré Comment tel coup donné sa dureté a la lame, et tel autre lui conferé une incroyable fléxibilité.

Au fur ou les années passèrent, dans un petit village au sud de la grande capitale, Britain, c'est de toute mon ame que j'ecouté les précieux conseille qu'il me prodigué, ne revant que du jour ou je serais a meme de pouvoir moi meme tenir ma propre forge. Il m'apprit aussi ou allez cherhcer les meilleurs metaux pour pouvoir faire de bonnes armes, et une fois par moi, nous partions tous les deux a leur recherches, essayant le plus souvent de fuire les monstres qui vivaient dans les montagnes, mais il n'etais pas rares que l'on devaient ce battre pour defendre notre peaux contre ces vils créatures. J'appris ainsi a manier les superbes lames que je forger, toujours pour me defendre. A l'age de mes seize ans, mon père descida que je savais suffisament me debrouiller pour pouvoir aller seul chercher cette noble matière première, et pour la première fois, je parti tout seul. J'étais à la fois heureux et apeuré de cette situation. Ayant deja vu comment les combats pouvais etre sanglant, j'esperé ne pas rencontrer ces monstres. A croire que les dieux m'avaient entendu, car à part quelques serpents geants et un Orc, je ne fit pas de sinistre rencontre. Arrivé sur place, je rechercer un nouveau filon, car celui que nous exploitions toucher à sa fin. Au bout d'une journée de piochage dans les roches, je finit par tomber sur un petit filon d'argent, tres utile dans la réalisation d'armes efficaces contre les morts vivants. Je revint chez moi trés fière de ma decouverte, ramenant quelques onces d'argent en plus du fer nescessaire. Mon père se trouva tres surpris de ma decouverte, car il n'avait jamais eu connaissance d'autres filons de ce minerai dans cette region de la montagne. C'est avec une imense satisfaction que je me rendit a la forge afin de pouvoir reprendre mon apprentissage, essayant de faconner une superbe dague a partir de ma trouvaille. Aprés de longues heures d'effort, j'obtient enfin un resultat, mais il me manquait encor de la pratique pour finaliser mon projet. Mon père m'apprit egalement tout ce qu'un bon forgeron doit savoir, car notre metier ne se limite pas a faire de nouvelle armes, mais l'on doit etre capable de pouvoir les réparer, les reconnaitre et les identifier. Je continuer donc a vaquer ainsi a mes occupations, alternant les exercices pratiques un marteau a la main, mais aussi de la théorique, a l'aide du precieux grimoire que posseder mon père. Dans ce grimoire était consigner toutes les formes d'arme et d'armures qui pouvaient etre facçonnées, leur puissance et leur point faible. D'apres mon père, il s'agissait de la connaissance de toute notre famille, et que chacun de ses memebres en ajouter une page avant de passer la main à son fils. Il me montra alors sur quoi il travaillé depuis bientot vingt ans. C'etais une hache a l'aspect autant biscornu qu'insolite. Elle semblé à peine ebauchée, et pourtant il se dégageait d'elle une aura de magnificience. J'en restais ébahi, me disant que moi aussi, un jour je sera capable d'une telle chose. Cela me donna encor plus de coeur a l'ouvrage, et je mis encor plus d'ardeur a ma tache.

A vingt ans, je partais de temps en temps seul rechercher de nouveau minerais, et c'est lors d'un de ces voyages que ce produisit le drame. Cela faisait une semaine que j'etait au tréfond de ma mine, pour mettre à jour un filon que je sentais tres promèteur. J'avais enfin trouvé ma mine. Un magnifique filon de fer du plus pur qu'il m'ait été permis de voir. Remplissant ma besace, je m'appretais a reprendre la route, quand un terrible sentiment me frappa. Je me retrouvais prit par un intense sentiment de vide. Je me precipitais vers la sortie, mais lorsque je debouchais dehors, je me rendis compte de la désolation qui reignait. La foret bordant le foret n'étais plus que désolation, tout les arbres étaient arrachés, plus aucun oiseau ou gibier ne trainaient. Je pris mes jambes a mon coup et je me dirigais vers chez moi. De mon vilage, il ne resté plus que des cendres. Je n'ossais imaginer ce que j'allais decouvrir en regagnant ma demeure. Helas, mes parents n'étaient plus, et de notre forge, il n'en restais rien....

Je passais des jours dans les décombres à essayer de trouver leur corps, et je finis par les trouver, inanimés... Alors le chagrin déferla en moi, comme si jusqu'a présent, je l'avais contenu dans je ne sais quel limite de mon esprit. Rassemblant le peu d'énergie qu'il me restais, je donnais une sépulture descente a mes pauvres parents, maudissant le destin du tour qu'il m'avait joué, jurant devant les dieux de continuer a faire vivre mon savoir ancestrale, pour la mémoire de mes parents.

Je prit le chemin de Britain, en espérant que je n'étais pas le seul survivant de ce qui avait frapper mon village.


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