J’ouvrais mes yeux, et remarquais autour de moi, de toutes petites lueurs. Il m’etait impossible de distinguer autre chose. Ni le lieu ou je me trouvais, ni l’heure qu’il
pouvait bien être. L’ambiance etait glauque et l’atmosphère très moite, et très sèche a la foi. Après quelques minutes je distinguais un peut mieux mon entourage.
Les lueurs que je voyais n’etait en fait que de simples bougies, collées par terre, à l’aide de la cire chaude. Elles étaient au nombre de six, et de couleur blanche,
formant un cercle autour de moi. La pièce etait vide, à l’exception de cette malle. Une grosse malle en bois très foncé, sertie de larges bandes métalliques. Le sol
etais très sale, et mes mouvements résonnais dans la pièce. Formant presque un écho. J’avais beau me tourner dans tous les sens, je ne distinguais rien d’autre, ni
même une porte ou une fenêtre. Je ne comprenais rien. Ma gorge etait desséchée, et la peur commençait à m’envahir, ce qui ne présageait rien de bon. Comment
avais-je bien put rentrer, sans portes, ni ouvertures. Au moment précis ou je pensais à la porte, le mur s’ouvrit devant moi, dessinant une grosse porte en pierre de
taille. Je ne comprenais plus rien. Pas plus maintenant qu’avant d'ailleurs. Mon cœur battait de plus belle, et mes mains étaient encore plus moites qu’avant. Je
pouvais apercevoir un long couloir, mais ce qui m’inquiétais le plus, c’etait les pas que je distinguais au fond. Ils se rapprochaient de plus en plus, et mon cœur
suivait le même rythme. Je n’entendais que ces pas, et le manque de lumière m’empêchait de voir quoique que ce soit. Je me levais, et me dirigeais vers l’entrée du
couloir, ne sachant absolument pas ce que j’allais découvrir. Soudains la vision d’un homme m’apparue, il était de grande taille, vêtu d’une immense robe blanche a
capuche, lui recouvrant la moitie du visage. Il s’avançait vers moi d’un pas calme et décidé. J’etait pétrifié, et sa vision m’intriguait. Il ne lui fallut que quelques
secondes pour se retrouver à mon niveau, et le temps que je m’aperçoive de quelque chose, ses mains etaient posées sur mes épaules. Je put alors apercevoir son
visage, ou plutôt une partie de son visage. Celui ci etait recouvert d’une grosse barbe grisâtre et bien épaisse, ce qui, sur le moment m’a fait penser à celle d'un sage
venant distribuer quelques cadeaux, c’etait peut-être le seul moment d’humour de toute cette mascarade. Il se mit à déblatérer dans une langue que je n’avais
jamais entendue, avec sa voie rauque, et son teint blafard il m’inquiétait plus qu’autre chose, car je ne comprenais pas un traître mot de ce qu’il baragouinait.
Cela faisait maintenant cinq minutes qu’il parlait, sans que je ne comprenne rien. Peut après avoir eut cette pensée, il s’arrêta, et me dit d’un ton sur, et résonant.
Ton apprentissage ne fait que commencer.
A ce moment là il me mit une main sur la tête, et l’autre sur le cœur. J’etais encore plus angoisser qu’au début, et mes jambes se dérobaient.
Tes actes ne seront le reflet d’AHURA MAZDA.
Encore une foi j’eut l’impression de m’évanouir, mon corps etait flasque, et la nausée m’emplissait le cœur. Je me sentais partir sans que rien n’y puisse changer. Un tourbillon montait en moi et m’emmenait, me dispersait à travers la pièce. Une sensation bizarre de m’éclabousser sur les murs, et puis plus rien, le néant. J’ouvrais les yeux, le soleil transperçait la fenetre. j’etait sur mon lit. Combien de temps avais-je dormis ? étais-je vraiment dans ma chambre ? . Autant de questions qui faisaient que je ne savais plus si j’avais rêvé, ou si cela etait bien réel. Je découvrais que ma main gauche tenait un rouleau, un genre de papyrus, sur le quel, une foi déroulé je pouvais lire au contraire du reste du document qui lui etait impossible a traduire, AVESTA. Une phrase me revenais en tête. Ton chemin sera celui de l’AVESTA. Je n’aurais donc pas rêvé. Le faite de me retrouver sur mon lit avec pour seule preuve, un papyrus me suffisait à penser que je m’etais effectivement transporté, ou plutôt, télé porter dans cette pièce. La mémoire me revenait petit a petit, et tout etait dû au fait que j’avais prononcé cette formule. Ce n’etait pas une formule de politesse bien sur, mais une incantation. En fait, elle avait pour but de me mettre en contact avec les puissances occultes. malgrés mon carractere franc ma facon de penser de comprendre les chose les gens, d'avoir en moi non pas une qualite mais un default qu'est celui d'etre trop en clin a la justice et de voulloir toujours defendre les orpimés contre vent et marrée malgrés ce que cela peut me couter meme si la mort doit m'emporter je ne puis me raisonner et croire en ce qu'il vient de m'arriver. ma mission est donc maintenant toute tracée ma croisade et maintenant en cour sur ma vis je le jure ma quete sera la defence de mon prochain et grace a la magi je compte bien y reussir, fonder une famille , avoir des enfant pour que survive mon nom , defendre les orpimés seront maintenant et a jamais mes seuls but
Fildard Themis
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