Ariakas, le mystérieux
"Que dire de cette homme ? Rien, nulle ne peut reelement car on le voit jamais, toujours cache, se deplacant furtivement on ne sait rien ou si peu.... Pour quel Dieu est t'il ? Personne ne le sait. En a t'il un ?Allez savoir Cette homme est un mystere entier, nul ne connais ses ambitions, ses capacites... Nul ne le connait.... exepte peut-etre Lordan Un vieil homme toujours un peu saoul. On le trouve quelquefois pres du feu dans une auberge, souvent avec une pinte de biere et encore plus souvent emeche Il connais Ariakas le Mysterieux. Ce serait un homme assez grand, les cheveux brun assez fonce, des yeux d'une grande profondeur. C'est du moins la description qui reviens le plus souvent, celle ci changeant selon l'etait d'ebriete du vieil homme. Mais l'histoire qu'il raconte elle ne change jamais. Lorsque le vieil homme prend la parole eclaire par les flammes sa voix douce et agreable retentit dans l'auberge

"Cela se passe pendant les Grandes Guerres , quelques temps avant le Cataclysme. Les Humains s'etaient a peu pres tous rallier ,exepte quelques mercenaires, et guerroyait contre troll, ogre et autre creature J'etait chef d'une unite d'archer et de quelques guerrier a la peau fonce, charge de contourne le campement des Orcs , de les prendre a revers et de faire le maximum de degats avec le moins de perte Nous etions une 50aines, eux, des centaines. Peu de chance d'en sortir Surtout que leur chef Shagraat etait connu comme l'un des plus intelligent et il le prouva. Nous contournames le camp a la lueur de la lune se dissimulant le mieux possible. On s'pprochant a pas feutre. On apercevait les orcs en train de festoyer se donnant des morceaux de viandes. J'essayai de voir de quel animal s'gissait t'il, lorsque je vit un crane. Ce n'etait pas des animaux. Un peu ecoeure j'ordonna de continuer, de prendre une cible pour les archers. Nous etions a quelques pas, le plus pres possible sansse faire apercevoir. Levant doucement le bras, j'allais ordonne l'hallali..... lorsque des crix derriere moi fuserent Deux gigantesques masss arriverent en courant ecrasant les buissons. Derriere d'autre formes arriverent, plus petites, mais plus nombreuses. Des Ogres , accompagne par des Orcs. Reportant mon regards sur le camp, je compris mon erreur. Il y avais la une 50aine seulment d'orc, le reste etait derriere nous Il fallait afir, ou mourir J'ordonna a mes hommes de tirer sur les Ogres Les fleches fuserent droit sur les gigantesque humanoides les touchant.... s'enfoncant, puis furent arraches comme des epines d'une rose. Le desespoire vint, les archers commencerent a courir, les guerriers atatquerent les Ogres. Je vit l'un d'eux se faire arracher la tete par la masse d'un Ogre. Derriere moi, j'entendit quelqu'un incanter, me retournant, je vit l'un de mes hommes, vetue d'une longue robe lancant de ses poings deux flammes vers le petit groupe d'Orcs du camp. Ceux ci s'embrasserent instantenement mettant le feu a la vegetation, du moins ce qu'il en restait. Sortant de ma stupeur, je courut vers le restant des orcs, en abattant quelques uns. Un fleche se planta dans ma cuisse, la douleur remontait jusqu'a la taille. Je l'arracha et clopinant, je me dirigea en direction d'un bosquet tout en regardant autour de moi La moitie de mes hommes etaient mort. Beaucoup de Orcs avaient aussi perit, mais ce n'etait qu'une infime partie par rapport a ce qu'il restait. Les deux ogres dans leru fureur aigillone par nos fleches tuaient tout.Ce fut avec un sourire leger que je vit un Orc se faire prendre puis jeter contre ses semblabe. Ce fut avec tristesse que je vit le Mage se faire decapiter par la lame d'un Orc. Je regardait celui ci, son armure etait toute noire il etait plus grand que les autres. Shagraat, ca devait etre lui. La peur en moi, la tristesse et l'horreur de voir autant d'homme mort se mua en rage. Je courut le plus vite possible, ne pensant meme plus a ma blessure quand d'un coup, je fut stopper net. Un sort de Paralizie Shagraat me vit, souriat puis s'ecroula Il venait d'etre poignarde par un homme. Il ne faisait pas partie de mon regiment, je ne l'avais jamasi vu. Les Orcs se ruerent sur lui, puis stopperent,hebete, ils cherchaient ou donc l'etrange etait passe. Les Ogres commencerent a se diriger vers moi. J'apercevait maintenant les nombreuses blessures et cicatrices d'anciennes batailles. Je vit aussi la petit dague effleurer le bras, je vit l'etranger sourire. Le fou, pensait t'il que une dague comme celle cifaire quelques chose. L'ogre s'arreta, il regarda sa blessure, commenca a baver, puis fut prit de spasme incontrollable et s'ecroula, face contre terre L'autre se rua sur l'homme mais celui disparut encore . L'ogre etait fou. Cherchant du regard, il l'apercut dans les Orcs restants et continuant a se battre contre les quelques hommes qui restaient, une poignee... l'Ogre s'elanca, je fut surpris par sa rapidite malgre son poids . IL arriva dans le champs de bataille, ecrasant tout, homme comme Orc. Quelqu'un sussurra derriere moi "Dans quelques instants, le sort va finir, cours le plus loin" Je tentais de tourner ma tete, toujours paralise, mais ne put apercevoir l'homme bien que mon instinct savait qui c'etait.. l'Etranger. Je tentai de parti et a ma plus grande surprise, j'etait libre de toute mouvement. Je courut donc, criant a mes hommes d'en faire autant. Tout en courant, je me demandait qui donc etait cette homme, et surtout, qu'etait ce ? J'ecarta l'idee que ce fut un mage car il n'incantait pas lorsqu'il disparaissait.Sa lame devait etre empoisonne, et d'un poison fort J'arriva a regrouper quelqeus hommes . Nous alliames vers la ville la plus proche. La bas, on demanda a ce qu'un Griffon fut envoye sur les lieux Quelques heures plus tard, l'eclaireur nous rconta que les Orcs avaient apparement livre bataile contre un Ogre fou de rage. Celui ci git d'ailleur mort, de la bave au visage...."

A chaque histoire,l'auberge ecoute dans un silence respectieux. A la derniere parole, le vieil homme sursaute, comme s'il venait de se reveille. Il declarait qu'il commencait a etre saoul , ce qui en realite l'etait deja depuis quelques heures et donc qu'il devait partir Il se dirigeait vers la porte, boitillant legerement d'une de ses jambes...


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